Texte en français

 
 
Regina Hornung, fille de monsieur Ramon Ayala et de madame Maria Amália Hornung , est née  au Paraguay, en 1959. Elle a passé son enfance en écoutant des chansons brésiliennes et  paraguayennes  et, parfois, elle s’enchantait en regardant les oeuvres de grands génies de la peinture holandaise.  
 Elle a surgi dans le monde artistique au début de ce siècle.Son inspiration a commencé quand elle s’est decidée à ouvrir un magasin d’objets indiens appelé “Madre Tierra”.
Au moment où elle a commencé à analyser les pièces reproduites par les tribus, elle a constaté , grâce a sa sensibilité, la valeur culturelle contenue dans chaque oeuvre parmi les plusieurs ethinies y representées. Ce moment-là, a été le moment magique qui l’a raporté à ses premiers études artistiques, où elle a réussit à réaliser sa production d’art plastique.
 Libérée de ses conceptions académiques, au moment de la création de ses oeuvres, et aussi, au moment de les présenter, elle arrivait à préparer une atmosphère très agréable dans son magasin, où les clients et les indiens de la région se sentaient très bien.
 Cette façon de vivre lui a provoqué l’intérêt et l’admiration pour racheter la culture de nos indiens.
 Elle a introduit dans ses oeuvres des éléments comme:des masques,des cocars,des sonnailles,des récipients d’argile,des tissus, de la Nature Morte composée par des fruits,des poissons et, au moment de les récupérer, elle a essayé de trouver toute la signification contenue dans ces éléments pour montrer l’expression d’art plastique dans l’essence du primitivisme des villages.
 Les rapports avec so frère, Roberto Ayala, professeur,sculpteur et antropologue ont augmenté ses connaissances.
 Elle a reçu dans son magasin “Lotte Schultz”, une directrice du Musée, dessinatrice-graveur renomée, qui a été une personne très importante dans sa vie.Elle l’a stimulée à montrer au monde l’enrichissante et authentique production des peuples de la forêt.
 Pour réussir à son approfondissement académique elle a passé à fréquenter  l’atelier de Mônica Delssin, où elle a eu des cours de techniques em peinture et des notions chromiques.
 Au moment où elle a commencé à participer du circuit culturel, elle s’est approchée de Lucy Yegros, Gustavo Beckelman, Herman Guggiari et du peintre Hermán Miranda, hyper-réaliste.
 De cette façon, Regina, qui était déjà  passionnée par la peinture Académique,au moment de contempler les oeuvres de cet artiste, elle a  montré as passion et a déclaré qu’elle était son admiratrice.Elle a profité de ses connaissances techniques vécues et les a apliqués dans ses oeuvres.
 La recherche minutieuse qu’elle a réussit à faire de manière parfaite et belle des couleurs utilisées dans son réalisme téchno-photographique ont engendré une excellente  production  d’art plastique.
 Dans son vernissage realisé  au Musée National de Beaux Arts, au mois d’octobre de 2003, dans la ville d’ Assomption, elle a été reconnue comme le plus nouveau phénomène des arts contemporains.Elle a reçu des commandes et des invitations pour se présenter dans d’autres pays.
 Elle est reconnue dans le cercle artistique paraguayen et elle nous ouvre des chemins qui nous emmènent au plaisir de la contemplation et de la paix spirituelle.Ainsi, quand on contemple son oeuvre on peut voir l’histoire vivante de l’art des natifs de l’Amérique dun Sud.
Jabim Nunes, Octubre 2004


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